Ses mots sont un refuge dans lequel j’aime à me recroqueviller lorsque les éléments me malmènent.
Son regard est un lieu d’existence dans lequel je reprends forme, quand le mien n’ose même plus se poser sur moi.
Sa force m’inspire à faire face aux facéties de la vie.
Sa bienveillance fait renaître en moi les espérances passées sous silence et sa patience apaise mes exigences avec la plus grande indulgence.
Sa chaleur fait taire mes plus profondes frayeurs et redonne des couleurs à mon intérieur en quête d’ailleurs.
Son humanité sécurise chaque pas sur le sinueux chemin de la quête de ma vérité, nécessaire à une solide acceptation de ma singularité.
Elle écoute quand personne ne le fait plus.
Elle vous fait rire quand vous croyiez ne plus y parvenir.
Elle fait de vos cris des chants.
Elle ravive la force de vie en vous, présente dès la naissance de votre pensée; la même qui vous a poussé à quitter le microcosme utérin de votre mère, assoiffé(e) de découvrir un monde pour lequel personne n’est prêt – et qui, pourtant, est empli d’insoupçonnables surprises et d’innocentes joies, si précieuses que cela vaut la peine que l’on s’y accroche à s’en écorcher les mains.
Voilà ce qu’est Madame Gent.
Une femme qui rend mon monde chaque fois un peu plus beau – et qui fera de même avec le vôtre si vous la laisser y entrer.